Ces études ont permis de conclure à la faisabilité technique et environnementale du projet.

Cette étape a consisté à étudier différentes variantes et à élaborer le rapport d’impact sur l’environnement (RIE-1^re étape), conformément aux exigences légales.

La concession conférera aux promoteurs du projet MBR le droit d’utiliser la force hydraulique dans le périmètre du projet et selon les modalités définies par celle-ci.

Pour la part valaisanne, la concession est octroyée par le Conseil d’Etat et ratifiée par le Grand Conseil.

Pour la part vaudoise, la concession est octroyée par la cheffe du Département du territoire et de l’environnement (DTE).

La conformité légale du dossier sera vérifiée par les administrations concernées des deux cantons ainsi que par les offices fédéraux compétents. La demande a été mise à l’enquête publique.

Lors de cette phase, les promoteurs poursuivront avec la planification détaillée du projet qui sera soumise aux autorités en vue de l’obtention de l’autorisation de construire.

Dans le cadre de cette procédure, le projet de détail est soumis aux autorités compétentes pour être analysé.

La construction de l’aménagement est autorisée par le chef du DTEE en Valais et la cheffe du DTE côté vaudois. Cette autorisation se fonde sur les préavis des communes sites, des services cantonaux ainsi que des offices fédéraux.

Selon les études actuelles, la réalisation de l’aménagement nécessitera trois à quatre ans de travaux. Le déroulement de ceux-ci sera affiné lors de l’élaboration du projet de l’ouvrage qui débutera en 2022.

Les travaux seront coordonnés avec l’aménagement du fleuve prévu par le projet de 3^e correction du Rhône.